J'ai 18 ans. Quelle légitimité ai-je à parler d'endométriose, à donner des conseils ? Quatre ans. Quatre ans de souffrances continues qui m'ont forcée à apprendre, à m'adapter. A comprendre aussi : j'ai vu les étonnantes capacités de notre corps à s'auto-guérir, j'ai vu l'esprit réparer ce qui devait l'être. La magie existe : elle est en nous, il suffit d'y croire. L'endométriose touche une femme sur dix...